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     Kindheitserinnerungen und Zeitzeugenberichte:

 

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e) Souvenirs du quartier « Osthafen » de Sarrebruck

 

     Kindheitserlebnisse im Saarbrücker Osthafenviertel  

 

 

 

Texte et photos par...

Text und Bilder von... ... Jean Kind

 


Vous trouverez des explications détaillées sur l'image à gauche et sur l'entreprise LAGERA

>sur cette page-ci.

 


Ausführliche Erläuterungen zu diesem Bild und zu der Firma LAGERA AG finden Sie

>auf dieser Seite.

 


 

 

Depuis fin 45 jusqu'en fin 56 j'ai habité avec mes parents dans la maison d'habitation où logeaient la famille du directeur et deux familles d'employés de l'entreprise LAGERA. Elle se trouvait en face de l'entrepôt, au "An der Römerbrücke 4". C'est aussi dans ce quartier du "Ost-Hafen" entre Brebach et Sarrebruck, le long de la Sarre, en face du terrain d'aviation de St Arnual que j'ai passé mes années scolaires du lycée Maréchal Ney et que j'ai vécu quelques faits marquants que je vais vous raconter.

Gamin de huit à neuf ans en 45-46, je jouais dans la rue au pied de la maison, avec les enfants du patron de mon père, Herrmann et Christa Sommer, presque du même âge que moi : On avait très peu de choses pour jouer, surtout des jeux de fabrication personnelle très rudimentaires : Une vieille jante de bicyclette récupérée chez le ferrailleur du coin en guise de cerceau ; une toupie fabriquée avec un clou et une bobine de fil à repriser, et un fouet avec de la ficelle au bout d'un bâton ; une navette taillée en pointe aux deux extrêmités d'un morceau de bois et un bâton comme batte pour projeter la navette au loin après l'avoir soulevée de terre en tapant sur une des pointes. Un sac de billes en terre d'argile faisait l'affaire pour jouer dans les ruines du "Römerkastell".... On goûtait avec un infini plaisir à ces jeux simples, et c'était à celui, ou à celle, qui réussissait le meilleur score.


La photo à droite de fin 45 montre les petits Jean Kind (8 ans), Herrmann et Christa Sommer ; à l'arrière-plan on voit le Halberg.

En 1946, vraiment insouciant et téméraire, je montais à cheval sur les sacs de farine qu'un ouvrier balançait de son diable par une trappe du premier étage de la Lagera sur le toboggan pour les laisser glisser vers le quai de chargement des camions. Ce petit jeu était finalement très dangereux puisqu'un beau jour j'ai perdu l'équilibre et suis tombé de haut sur la chaussée. Ma mère alertée est venue en larmes me relever ; je me souviens lui avoir dit que je n'avais pas mal, mais je suis quand même resté deux mois au "Evangelisches Krankenhaus" de la Grossherzog-Friedrich-Strasse, la tête reposant sur un oreiller de glace ; j'avais un éclatement du tympan de l'oreille droite et une fracture du rocher. On n'avait pas détecté un important déplacement des vertèbres lombaires dont je ne me ressens qu'aujourd'hui.

Plus tard en 1950, mes jeux devinrent plus techniques: Daniel Kircher venait souvent chez moi pour réunir nos petits trains MÄRKLIN HO reçus en cadeau du Haut Commissariat à Noël 1949, avec des aiguillages, un passage à niveau et une gare..... On passait des heures, allongés par terre, à regarder le battement des bielles des locos et la lumière de leurs petites lampes. On faisait tourner des trains de marchandises chargés de sable ou de grains de riz tandis qu'un train de voyageur tournait en rond... Les déraillements étaient fréquents, les tamponnages aussi et il y avait de nombreux blessés !!!

En été le quai fluvial de la Lagera était un excellent tremplin de 6 mètres pour plonger dans la rivière quand il y avait de la place libérée par une péniche. Le plus souvent, les gosses des mariniers et moi, on prenait de l'élan pour sauter le plus loin possible dans la Sarre, le derrière en avant, les jambes repliés et les genoux sous le menton. C'étaient des gros "Ploufs" avec d'énormes gerbes d'eau. Ces jeux d'été purent se pratiquer jusqu'en 52 tant que la "Brebacher Hütte" ne polluait pas la Sarre avec ses rejets de granulés de laitier.

Un petit cercle d'amis d'école et moi, avions reçu à notre communion en 52, chacun un vélo "cyclo-touriste" avec (jugez du peu !!!) un guidon de course, une roue libre 4 vitesses et un dérailleur. Les poignées de freins n'étaient peut- être pas disposées comme sur un vrai vélo de course, mais après le passage du Tour de France cycliste à Sarrebruck, lors de sa première étape Strasbourg-Metz le 3 juillet 1953, on se prenait quand même pour l'un ou l'autre des "forçats de la route", nos champions modèles tels Louison Bobet, Gilbert Bauvin, Roger Hassenforder, Jean Robic et Charlie Gaul. Notre "Tour de France" se passait sur un circuit fermé : An der Römerbrücke - 13 Januar Strasse - Mainzer Strasse - Am Römer- kastell; arrivée, au bout d'un certain nombre de tours, chez mon ami Maurice Gaulard, devant la Grossmarkthalle.

Une nuit de printemps 1950 je fus réveillé par une importante explosion qui s'était produite à Brebach à la cokerie de la Halberger Hütte, et par le hurlement des sirènes des nombreuses voitures de pompiers qui passaient dans la Brebacher Landstrasse pour se rendre sur les lieux du sinistre. Une des tours de distillation fractionnée des hydrocarbures aromatiques (Benzène, Toluène et Xylène) venait d'exploser, d'éventrer les trois autres et d'y mettre le feu (photo à droite, Y). Vu de ma chambre mansardée sous le toit de l'habitation de la Lagera, à 800 mètres de là, l'incendie avait quelque chose de dantesque. Un de mes bons  amis du lycée qui habitait "An der Rot Schanz" à Brebach, à moins de 150 mètres du sinistre, était aux premières loges et a dû avoir très chaud. Le quartier où il habitait avait aussi eu beaucoup de chance que le gazomètre juste à côté n'ait pas été incendié (photo à droite, X).

Pour me faire un peu d'argent de poche je travaillais un ou deux mois, pendant les vacances d'été, à décharger des wagons de sacs de blé, ou à en remplir, d'un quintal de vrac déchargé d'une péniche, et à les ranger au premier étage dans l'entrepôt à l'aide d'un diable. Le malheur voulut qu'une grande part de mes économies ait servi en 1956 pour rembourser la réparation du toit de ma chambre mansardée, lequel s'était envolé l'après-midi sous le souffle de l'explosion de 100 millilitres de nitroglycérine que je venais de préparer le matin. J'étais au lycée au moment de ladéflagration.

 

Il n'y a heureusement pas eu de blessé ni dans la maison car le grenier était vide, ni par la chute des tuiles dans la rue inoccupée à cette heure-là ; mais attention, à mon retour mon père m'attendait et, malgré mon anniversaire à 18 ans, m'infligea une correction dont je me souviens encore très bien aujourd'hui. Cet accident, c'est à Mr Terrasse, notre excellent professeur de chimie en terminale, que je le dois (voir photo sur notre page Lycée Maréchal Ney), car il venait de nous parler de la préparation des esters nitrés. Je lui pardonne bien volontiers d'avoir oublié de me prévenir que ce genre de composé doit être gardé au frais, surtout quand il est parfaitement déshydraté..... . Enfin je n'aurais pas dû tenter de vérifier bien involontairement les effets mécaniques de ces explosifs liquides comme cela venait de nous être montré dans le film de Georges Clouzot "le Salaire de la Peur".

J'ai conservé un souvenir très présent de ce quartier d'antan et je suis attristé par la disparition de mon ancienne maison d'habitation qui a été démolie en 2004. D'autres changements qui me chagrinent sont également intervenus : la baraque des aiguilleurs, les rails d'accès à la gare de triage qui traversaient la route dans le virage entre Römerbrücke et Römerkastell, ont disparu ; la halle du poissonnier que surplombe aujourd'hui un énorme silo, la Lagera dont la moitié de l'entrepôt est remplacé par un second silo monstrueux de la Rhénania, et surtout la Sarre dont le lit a été détourné par St Arnual, font de mon quartier jadis animé un site commercial inerte que je trouve aujourd'hui mort.

 



Photo: Jean Kind avec sa maman ou printemps 1947. A gauche, vue sur Brebach, et à droite, le terrain d'aviation. La photo fut prise par le papa avec une Voigtländer 6x9.
 

J. Kind pour Saar-Nostalgie

 

 

 

Gegenüber dem Lagerhaus der LAGERA AG war "An der Römerbrücke 4" ein Wohnhaus. Es bestand aus einem Keller, einem Erdgeschoss für Garagen und einem ersten und zweiten Stock mit Wohnungen für den Direktor und zwei Angestellte mit ihren Familien. Meine Eltern und ich haben von Ende 1945 bis Ende 1956 in diesem Haus im Osthafen-Viertel gewohnt, zwischen Brebach und Saarbrücken und gegenüber dem Flughafen St. Arnual. Mein Zimmer befand sich im Dachgeschoss. In dieser Gegend habe ich mit Schulfreunden und Kindern der Umgebung einige Streiche erlebt, die ich Ihnen erzählen will. 

 

Im Frühling 1946 war ich acht Jahre alt und spielte oft abends auf der Straße mit Herrmann und Christa Sommer, den Kindern des Direktors der Lagera (siehe Foto). Wir hatten damals keine Spielsachen außer denjenigen, die wir uns selbst gebastelt hatten: z.B. eine alte Fahrradfelge, beim Schrotthandel ausgesucht und als Reifen verwendet, einen Kreisel, der aus einer Garnrolle und einem Nagel bestand, eine Peitsche mit einer Kordel, die am Ende eines Stocks befestigt war, ein selbstgebasteltes Schiffchen, das man mit einem Stock hochheben und dann so weit wie möglich wegschlagen musste, Tonkugeln in verschiedenen Farben, mit denen wir in den Ruinen des Römerkastells spielten, usw. Wir hatten viel Spaß an solchen einfachen Spielen, bei denen es darum ging, eine möglichst hohe Punktzahl zu erreichen.


Das Foto
zeigt den achtjährigen Jean Kind (links) und seine Freunde Herrmann und Christa Sommer. Im Hintergrund links ist der Halberg.

Etwas später im Sommer war ich einmal sehr kühn und unvorsichtig; ich kletterte die Rutschbahn der Lagera hoch und setzte mich auf die Mehlsäcke, die ein Arbeiter vom ersten Stock zum Erdgeschoss hinunterrutschen ließ. Das war toll, bis ich eines Tages das Gleich- gewicht verlor und von ganz oben bis auf die Straße herunterstürzte. Die Nachbarn haben meine Mutter alarmiert, und sie kam sofort, um mich unter Tränen aufzuheben. Ich tröstete sie, indem ich ihr sagte, dass ich nicht verletzt war und keine Schmerzen hatte. Aber ich hatte mich geirrt, denn ich musste zwei Monate mit geplatztem Trommelfell und schwerem Schädelbasisbruch im Evangelischen Krankenhaus bleiben. Eine Lendenwirbel-Verletzung war nicht entdeckt worden; sie hat mich auch bis heute nicht gestört, aber jetzt im Alter fangen bei mir die Rückenschmerzen an.         

 

An Weihnachten 1949 bekamen viele Kinder der Marschall-Ney-Schule Geschenke vom Hohen Kommissar Gilbert Grandval; damit wurden unsere Spiele "technischer". Daniel Kircher kam oft zu mir mit seiner MÄRKLIN-HO-Eisenbahn, um sie mit der meinigen zusammenzubauen. Wir beobachteten eine Zeitlang das Schlagen der Stangen unserer Lokomotiven und in der Dunkelheit meines Zimmers das schwache Leuchten ihrer kleinen Lämpchen. Wir hatten einen großen Schienenkreis mit einem Bahnhof, einem Personenzug, einem Güterzug sowie einem Tunnel und ein paar Weichen... Der Verkehr war dicht und es kamen Entgleisungen und Zusammenstöße vor, natürlich immer mit vielen Verletzten!!!

 

Bei Sommerhitze war die Kaimauer der Lagera ein wunderbares, sechs Meter hohes Sprungbrett, von dem man herrlich in die Saar springen konnte. Immer wenn gerade kein Lastkahn da war, sprang ich zusammen mit den Kindern der Saarschiffer nach kurzem Anlauf so weit es ging in die Saar, mit dem Gesäß nach vorne und beiden Knien unter dem Kinn. Es platschte herrlich, und das Wasser spritzte hoch. Gewinner war immer derjenige, der am weitesten gesprungen war. Das war aber nur solange möglich, wie die Saar noch nicht mit Hüttensand und Öl von der Brebacher Hütte verschmutzt war.

 

1952 bekamen einige meiner Schulfreunde und ich selbst zu unserer Kommunion jeder ein Touren-Fahrrad geschenkt. Das meinige hatte (was für ein Luxus!!!) einen Lenker wie auf echten Rennrädern und sogar einen 4-Gang-Freilauf mit Gangschaltung. Die Bremshebel waren nicht wie auf einem echten Rennrad eingebaut, sondern auf jeder Seite der Halterung montiert. Trotzdem hielten wir uns nach der Durchfahrt der ersten Etappe der "Tour de France" (von Strasbourg nach Metz) durch Saarbrücken, am 3. Juli 1953, für die damaligen Radrennmeister Louison Bobet, Gilbert Bauvin, Roger Hassenforder, Jean Robic und Charlie Gaul. Unsere "Tour de France" verlief auf einem geschlossenen Rundkurs: Straße des 13. Januar - Mainzerstraße - An der Römer- brücke - Am Römerkastell, mit Ankunft nach einer bestimmten Anzahl von Runden in der Nähe des Wohnhauses meines Freundes Maurice Gaulard, vor der Großmarkthalle.

 

Im Frühjahr 1950 wurde ich um 1 Uhr nachts von einer heftigen Explosion in der Halberger Hütte und von den heulenden Sirenen der vielen Feuerwehrautos geweckt, die nach Brebach eilten. Ein Destillationsturm (Foto unten: Y) für aromatische Kohlenwasserstoffe (Benzol, Toluol und Xylol) war explodiert und hatte die drei anderen Türme in Brand gesetzt. Von meiner Mansarde aus sah ich den 800 Meter entfernten riesigen Brand. Einer meiner guten Schulfreunde wohnte "An der Rot Schanz" in Brebach, nur 150 Meter von der Unfallstelle entfernt - es war sicherlich schön warm bei ihm! Die Leute, die in der Nachbarschaft wohnten, hatten großes Glück, weil der unmittelbar daneben gelegene Gasometer (Foto unten: X) nicht in Brand geriet. *) (Anm. ganz unten!)

 

 

Um mir etwas Taschengeld zu verdienen, arbeitete ich während der Sommerferien ein oder zwei Monate lang in der Lagera. Ich musste Zentnersäcke mit Weizen füllen oder Mehlsäcke von Waggons ausladen und mit einem Schubkarren ins Lager fahren. Das Dumme war nur, dass ich 1956 einen großen Teil meiner Ersparnisse für die Reparatur des Daches in meinem Mansardenzimmer ausgeben musste. Dieses war eines schönen Nachmittags im April durch die Explosion von 100 Milliliter Nitroglyzerin weggeflogen, und die Ziegel lagen abends unten auf der Straße. Glücklicherweise war ich in der Schule gewesen und niemand war verletzt worden, weder im Haus noch auf der Straße.

 

Mein Vater wartete auf mich, als ich aus der Schule kam und verpasste mir eine unvergessliche Abreibung, obwohl ich schon 18 war. Diesen Unfall verdankte ich unserem hervorragenden Chemielehrer (siehe Foto in Lycée Maréchal Ney), denn er hatte uns über die Herstellung von Nitratester unterrichtet, dabei aber vergessen uns zu warnen, dass diese Art von Verbindung kühl gehalten werden muss, besonders wenn sie völlig dehydriert ist ... Natürlich war es meine eigene Schuld, denn ich hätte nicht versuchen dürfen, die mechanische Wirkung solcher flüssigen Sprengstoffe zu überprüfen, wie man es uns gerade in dem Film "Lohn der Angst" im Passage-Kino gezeigt hatte.

 

Ich habe dieses lebhafte Viertel um die Lagera in guter Erinnerung, und ich war sehr betrübt, als unser altes Wohnhaus 2004 abgerissen wurde. Es sind auch noch andere Veränderungen geschehen, die mich traurig machten: Das Weichenwärterhäuschen und die Gleise für die Zufahrt zum Rangierbahnhof über die Straße zwischen Römerbrücke und Römerkastell sind verschwunden; die Halle der Fischverkäufer ist heute mit einem riesigen Silo überbaut, und auch die Hälfte des Lagerhauses der Lagera wurde in ein riesiges Silo verwandelt; die Saar fließt jetzt direkt an Sankt Arnual vorbei und ist bei der Lagera in den Ost-Hafen umgebaut worden. Diese Umgebung, die einmal so lebendig war, scheint mir heute tot zu sein, und das macht mich sehr traurig.

 

J. Kind für Saar-Nostalgie 

 


Das Foto oben zeigt Jean Kind mit seiner Mama im Frühling 1947 auf dem Geländer sitzend, das in dem großen Foto ganz oben in der rechten unteren Ecke als roter Strich eingezeichnet ist. Links sieht man auf Brebach, rechts auf den Flughafen St. Arnual.

 

*) Über die geschilderte Explosion und den anschließendem Großbrand in der Brebacher Kokerei wurde auch im Blog der Geschichtswerkstatt Brebach berichtet:

 

"Außer Koks wurde eine Reihe von Nebenprodukten wie Gas, Teer, Benzol und Ammoniak erzeugt. Heiz- und Leuchtgas deckte nicht nur den eigenen Bedarf des Werkes, sondern wurde auch an Gemeinden und Haushalte verkauft. Der Kokereibetrieb brachte starke Umweltbelastungen mit sich. Die explosiven und leicht entzündlichen Nebenprodukte bargen zudem eine hohe Unfallgefahr. So kam es 1950 zu einem Brand in der Benzolfabrik. 1974 wurde die Kokerei stillgelegt."

(Zitat von: http://gwbrebach.wordpress.com/tag/geschichtswerkstatt-brebach/  -  zuletzt abgerufen am 29.11.2012).

 

 

Ausführliche  Erläuterungen  zu der Firma  LAGERA AG  finden Sie  auf dieser Seite.


Vous trouvez des explications détaillées sur l'entreprise LAGERA AG
sur cette page.

 


Diese Seite wurde begonnen 2011 und zuletzt bearbeitet am 19.1.2018              

 

 

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